http://board.ogame.fr/thread.php?threadid=146987Les Valars tenaient leur assemblée sur Arda, une ombre planait, inquiétante mais encore inconnue. Lorien avait senti la menace d’un mal qui semblait vouloir s’abattre sur les enfants d’iluvatar et sur Ea toute entière. On attendait le retour des éclaireurs pour savoir si quelqu'un avait trouvé d’ou venait l’inquiétude qui rongeait les habitants du royaume bienheureux.
C’est alors que s’ouvrit lentement la grande porte en chêne et que l’on vis apparaître une silhouette fatiguée qui s’avançât au milieu de la salle. Il s’agissait de Beleg, le gardien des frontières de l’anneau de Melian envoyé en expédition chez les anciens alliés Asgard.
Il prit la parole :
« chers seigneurs, votre crainte était justifiée et j’ai le cœur lourd de vous apprendre que ce mal a pris naissance chez ceux que nous avons considérés comme amis. »
Il commença alors a exposer ce qu’il avait découvert :
« Ma mission était de vérifier la loyauté du général Benjikiller, Chef de l’alliance Asgard. Je l’ai suivis pendant des nuits et des nuits jusqu’à ce que je trouve de quoi éveiller mes soupçons. Il s’était rendu à une assemblée de nos anciens ennemis , les Synergies et voici ce que j’ai pu entendre de sa propre bouche :
Comment saviez vous que nous allions venir avec vous dans cette guerre?
Nous ne sommes finalement point venus car nous avions perdu des flottes et certains de nos menbres sont un peu long a comprendre!
Nous avons aussi nos propre idéo nous asgard et sommes généralement assez pacifistes!
Je ne peut pas vous dire si l'on rentrera en guerre avec si jamais vous la redéclareriez , je ne peut pas vous le dire la car les décisions se prennent en assemblée (haut conseil asgard).
N'oubliez pas que un pt n'a pas comme seul but d'aider en cas de guerre.
cordialement
general benjikiller
Au moment ou en tant qu’alliés Benjikiller s’excusait auprès de nous de ne pouvoir nous aider dans cette guerre il convoitait de nous renverser avec l’aide des synergies. »
Le choc provoqué par l’annonce de la trahison se lisait sur tous les visages car même si des doutes avaient étés émis sur la fiabilité de ces alliés personne n’avait osé imaginer une telle manipulation.
Beleg montras soudain une épée noire et luisante a la fois, il l’avait dérobé a benjikiller lui même, ne pouvant supporter qu’un chef aussi indigne puisse manier une si belle arme. Il s’adressa a l’épée dans la langue qu’elle avait tant entendue ces dernières années :
*( trad en bas) Beleg Cuthalion,
Tempasi terävän miekan,
Katselevi, kääntelevi,
Kyselevi, tietelevi;
Kysyi mieltä miekaltansa,
Tokko tuon tekisi mieli
Syöä syyllistä lihoa,
Viallista verta juoa ?
Miekka mietti miehen mielen,
Arvasi uron pakinan,
Vastasi sanalla tuolla:
"Miks' en söisi mielelläni,
Söisi syyllistä lihoa,
Viallista verta joisi?
Tres vite, certains des Valars furent emportés par la colère, une rumeur grandissait, un combat s’approchait Une armée se levait. A son départ on entendis un champs résonner, Il venait de toutes les armes Valars qui accompagnait la triste voix de l’épée amenée par Beleg. sur ce chant l'armée des Valars était une nouvelle fois sur le depart décidés a laver la souillure qu'ils ressentaient sur eux.
**( trad en bas)Tuli synkkä, ikävä, luminen päivä
Pakko lähteä pois
Eteenpäin kulkea vaan
Halki metsien, mäkien, polkuja tehden
Yli jokien, järvien jään
Matkata jättäen kaiken
Harmaa taivas, tuuli ja kostea maa
Sade kasvoihin löi
Aina pelko seurana
Musta varjo leveillä siivillä tuli
Mennessään uupuneet vei
Mukana kuolema kulki
Ja ne pelkää
Ja ne säälii
Ja ne kuolee
Ja ne itkee ja puolustaa...
Meistä heikot vaipui nälkään ja kylmään
Kuutamossa maaten
Vuoteena lumi ja sammal
Odotimme lämpöä, kevättä, voimaa
Herätä kukkien myötä
Koskaan ei tullut se päivä
*Beleg a l'arc de fer, prend l'épée tranchante à son poing, la tourne en main, la lorgne en paume, il lui chuchote sa demande.
Il mande l' avis de l' épée, aurait-elle envie par hasard de croquer dans la chair fautive, de laper le sang malfaisant ?
Lors l' épée songe à ses paroles, elle pense aux mots du gaillard.
Puis elle entame sa réponse:"Pourquoi n' aurais-je guère envie de croquer dans la chair fautive et laper le sang du méchef ?
**Vint un jour sombre, triste, neigeux, obligés de partir, s'en aller droit devant.
A travers forêts, collines, traçant des sentiers, par delà rivières et lacs gelés, avancer, tout laisser. Le ciel gris, le vent et la terre humide, la pluie frappant nos visages, constamment la peur nous accompagnait. Vint une ombre noire, de ses larges ailes, elle emporta les épuisés, la mort marchait à nos cotés. Et ils ont peur, et il demandent pitié, et ils meurent, et ils pleurent et se défendent. Les faibles s'affaissèrent de faim et de froid, se couchèrent au clair de lune, sur un lit de neige et de mousse. Nous attendions la chaleur, le printemps, la force, se réveiller avec les fleurs, ce jour ne vint jamais